Solidarité / Santé

Prévention santé

  • En Corse, le 116 - 117 est le numéro pour joindre un médecin généraliste de garde aux heures de fermeture des cabinets médicaux.

     

    En cas d’urgence vitale, il faut continuer de composer le 15.

     

     

  • Comment trouver une pharmacie de garde ?

     

    Sur le site de l’Agence Régionale de Santé de Corse vous retrouverez les pharmacies de garde par secteur :

    https://www.corse.ars.sante.fr/les-pharmacies-de-garde-0?parent=2531

     

    *Les tableaux des gardes sont susceptibles de subir de modifications. Ces dernières doivent être précisées par affichage sur chaque pharmacie du secteur concerné. *

  • Protégez-vous et protégez les autres en vous tenant informé et en prenant les précautions appropriées. Suivez les conseils des autorités sanitaires locales.

     

    Pour empêcher la propagation de la COVID-19, suivez ces recommandations :

     

    → Lavez-vous fréquemment les mains. Utilisez du savon et de l'eau, ou une solution hydroalcoolique.
    → Tenez-vous à distance de toute personne qui tousse ou éternue.
    → Portez un masque lorsque la distanciation physique n'est pas possible.
    → Évitez de vous toucher les yeux, le nez ou la bouche.
    → En cas de toux ou d'éternuement, couvrez-vous le nez et la bouche avec le pli du coude ou avec un mouchoir.
    → Restez chez vous si vous ne vous sentez pas bien.
    → Consultez un professionnel de santé si vous avez de la fièvre, que vous toussez et que vous avez des difficultés à respirer.

     

    Prévenez le professionnel de santé par téléphone au préalable. Il pourra ainsi vous orienter rapidement vers l'établissement de santé adéquat. Cela vous protège, et empêche la propagation des virus et d'autres infections.

     

    Masques


    Les masques peuvent contribuer à éviter que les personnes qui les portent transmettent le virus à d'autres personnes. Le seul port du masque ne protège pas contre la COVID-19. Il doit être associé à des mesures de distanciation physique et d'hygiène des mains.

     

    Suivez les conseils des autorités sanitaires locales.

  • Chaque année des centaines de personnes sont victimes de pathologies provoquées par le froid.

     

    Plusieurs causes, directes ou indirectes, sont possibles :

     

    → Des maladies liées directement au froid telles que les gelures ou l’hypothermie, responsables de lésions graves, voire mortelles

     

    → L’aggravation de maladies préexistantes (notamment cardiaques et respiratoires). Comme la chaleur, le froid peut également avoir des effets à plus long terme (accidents vasculaires cérébraux, infections respiratoires, etc.)

     

    → Des effets indirects comme le risque accru d’intoxication au monoxyde de carbone due au dysfonctionnement d’appareils de chauffage (au gaz, au fioul ou au charbon) ou à une utilisation inappropriée d’un moyen de chauffage (chauffage d’appoint utilisé en continu par exemple) ou encore lorsque les aérations du logement ont été obstruées. La neige et le verglas peuvent également être responsable de traumatismes liés aux chutes.

  • Votre santé est en danger lorsque la température extérieure est plus élevée que la température habituelle dans votre région.

     

    → La chaleur fatigue toujours

     

    → Elle peut entraîner des accidents graves et même mortels, comme la déshydratation ou le coup de chaleur

     

    → La pollution de l’air et l’humidité aggravent les effets liés à la chaleur.

     

    Ces risques peuvent survenir dès les premiers jours de chaleur. Des gestes simples permettent d’éviter les accidents. Il faut se préparer AVANT les premiers signes de souffrance corporelle, même si ces signes paraissent insignifiants.

     

    En cas d’épisode de forte chaleur, un numéro d’information est mis à disposition du public : 0800 06 66 66

    Appel gratuit entre 9h et 19h depuis un poste fixe.

  • Le 3919 « Violence Femmes Info » constitue le numéro national de référence pour les femmes victimes de violences (conjugales, sexuelles, psychologiques, mariages forcés, mutilations sexuelles, harcèlement...).

    Il propose une écoute, il informe et il oriente vers des dispositifs d'accompagnement et de prise en charge.

    Ce numéro garantit l'anonymat des personnes appelantes mais n'est pas un numéro d'urgence comme le 17 par exemple qui permet pour sa part, en cas de danger immédiat, de téléphoner à la police ou la gendarmerie.


    Les victimes de violences peuvent également appeler le numéro vert régional : 0.800.400.235. Pour celles ne pouvant téléphoner, il est possible de faire un signalement sur le site arretonslesviolences.gouv.fr. Une fois le code postal renseigné, la personne est directement mise en lien avec la gendarmerie la plus proche de son domicile.

    Un numéro est également disponible 24h/24 par SMS : 06.44.25.09.32.

    L'associu " Donne di Corsica " est une nouvelle association qui a vu le jour en novembre 2020 à Pietranera (Haute-Corse). Elle vient en aide aux femmes victimes de violences.
    Depuis sa création elle a déjà recensé une cinquantaine d'appels sur toute l'île.



    Vous avez des accès de violence ou vous avez déjà été violent envers votre partenaire - Besoin d'en parler ? Le Centre de Prise en Charge des Auteur(e)s de violences conjugales vous accompagne au mieux.
     
    04 95 45 49 98 - Permanences sur tout le territoire
    Du lundi au vendredi de 9h à 12h et de 14h à 17h
    Résidence Duc de Padoue - 8 Place du général De Gaulle - 20250 CORTE
     
    Vous pouvez également joindre la ligne d'écoute de la FNACAV au 08 019 019 11 - numéro gratuit.
    (FNACAV : Fédération nationale des associations et des centres de prise en charge d'auteurs de violences).
    Affiche FNACAV - J'arrête d'être violent Violence - j'appelle pour en parler Affiche CPCA Corte - Permanence - Vous avez déjà été violent avec votre partenaire ?
  • Les moustiques peuvent transmettre de nombreuses maladies : Chikungunya, dengue, virus Zika, fièvre du Nil occidental (West Nile virus), fièvre jaune, paludisme.

    La lutte contre les moustiques potentiellement vecteurs de ces maladies et leurs larves constitue l’un des principaux moyens d’éviter la transmission des virus.

     

    L’ARS en lien avec le préfet et les collectivités locales défini le programme de surveillance des moustiques vecteurs de maladies humaines et les actions à mener.

     

    En matière de prévention collective, la mobilisation sociale des citoyens vise à supprimer les gîtes larvaires à l’intérieur et autour des habitats (les zones d’eau stagnante comme les dessous de pots, les déchets, les gouttières, etc.). C’est le moyen le plus efficace pour diminuer la densité de moustiques.

     

    Afin d’éviter les piqûres, il existe également des moyens de protection individuels, comme porter des vêtements longs et amples, utiliser des répulsifs, installer des moustiquaires de berceau, … Aucune mesure n’est efficace à 100% ; c’est la somme de mesures individuelles et collectives qui permet diminuer la transmission.

     

    Les particuliers peuvent également signaler l’implantation d’un moustique vecteur autour de leur domicile dans un secteur géographique jusqu’à présent indemne.

  • Pratiquez une activité physique

     

    Faire de l’activité physique et rester moins longtemps assis(e) ou allongé(e), c’est mettre toutes les chances de son côté pour améliorer sa qualité de vie, son sommeil et, à plus long terme, réduire le risque de maladies.

    Bouger préserve votre santé et permet de diminuer le risque de développer certaines maladies (cardiovasculaires, hypertension artérielle, cancers, diabète de type 2, ostéoporose…).

    L’activité physique permet également de lutter contre la sédentarité et ses effets délétères sur votre santé.

     

    Mangez varié et équilibré !

     

    Une alimentation équilibrée et diversifiée, privilégiant les fibres, les fruits et légumes, est un facteur protecteur et susceptible de réduire le risque de cancer.

     

    Il est important de rappeler que la prévention ne peut se résumer à un aliment miracle. Il s’agit d’équilibrer globalement ses consommations, en privilégiant ce qui protège et en réduisant ce qui peut contribuer à l’apparition d’un cancer.

     

    *Pour en savoir plus, vous pouvez vous rendre sur : https://www.mangerbouger.fr/*

La commune compte désormais 7 défibrillateurs automatisés externes

Deux nouveaux défibrillateurs viennent compléter les cinq déjà existants de la commune. Les dispositifs médicaux qui aident à la réanimation de victimes d’arrêt cardiaque positionnées dans leur boitier vert sont tous signalés par un panneau DAE « Défibrillateur automatisé externe ».

 

« Les défibrillateurs ont été placés dans des endroits faciles d’accès et bien connus de tous. Bien que nous n’espérions ne pas avoir à s’en servir, nous sommes conscients des risques. C’est une véritable question de sécurité. » explique Yannick Castelli.  

 

Selon le ministère chargé de la Santé, malheureusement, chaque année, entre 40 000 et 50 000 personnes sont victimes d’une mort subite, faute d’avoir bénéficié au bon moment de l’intervention d’une personne. Une vie peut être sauvée en pratiquant les gestes de premiers secours et en administrant un choc électrique (défibrillation) dans l’attente des équipes de secours et d’aide médicale d’urgence.

 

Où se trouvent les défibrillateurs ? 

Afin de connaitre les emplacements exacts des DAE il vous suffit de consulter la carte interactive ci-dessous. Ces derniers se trouvent ;

- Hôtel de ville de Folelli (à gauche de l’entrée)

- Mairie du village (à droite de la porte d’entrée)

- Centre social de Folelli (à droite de l’entrée)

- Ecole Primaire de Folelli (à gauche de l’entrée)

- Espace Casinca (à l’entrée du parking sur la droite)

- Tennis Club de Folelli (à gauche de l’entrée du club)

- Médiathèque de Folelli (centre de la médiathèque)

 


Un défibrillateur qu’est-ce que c’est ? Comment s’en servir ?

EVALUER – ALERTER – SECOURIR

Un défibrillateur est un appareil délivrant un choc électrique pour interrompre une fibrillation et tenter une réanimation en cas d’arrêt cardiaque. Son utilisation se fait dans l’urgence.

EN CAS D’ARRÊT CARDIAQUE :

1. Demandez de l’aide, mettez vous en sécurité ainsi que la victime. Vérifiez que la personne réagit. Demandez-lui de vous serrer les mains ou d’ouvrir les yeux.

2. Sinon, vérifiez que la personne RESPIRE, vérifiez son souffle, sa poitrine, se gonfle-t-elle ? Si elle respire mais reste inconsciente, mettez-la en position latérale de sécurité PLS.

3. Sinon, ALERTEZ LES SECOURS, FAITES LE 15, 18 ou le 112,
Indiquez- leur précisément où vous êtes, le nombre de victimes, symptômes et ne raccrochez jamais.

3. COMMENCEZ LE MASSAGE CARDIAQUE, utilisez le DEFIBRILLATEUR, le plus vite possible.

4. Dès que celui-ci arrive, appuyez sur le bouton vert et laissez-vous guider.

 

Lorsqu’un arrêt cardiaque est détecté, l’utilisation d’un défibrillateur est nécessaire. Dans la chaîne de survie (Alerter, Masser, Défibriller), la défibrillation est la 3ème étape à effectuer (en alternance avec la réanimation cardio pulmonaire, également appelé massage cardiaque). Lorsque le témoin-sauveteur est en possession du DAE, voici les étapes à suivre pour l’utiliser :

  • Assurez-vous que la victime est positionnée sur une surface sèche avant d’utiliser le DAE. Si ce n’est pas le cas, vous pouvez déplacer la victime, mais en faisant extrêmement attention. Vérifiez également le positionnement du DAE : s’il est positionné sur une surface conductrice (telle que le métal), son fonctionnement peut être inefficace.

  • Démarrez le DAE en appuyant sur le bouton « Marche » ou « On ». S’il s’agit d’un défibrillateur entièrement automatique, c’est l’unique bouton que vous aurez à utiliser.

  • Installez les électrodes sur la poitrine de la victime. Si vous avez un doute sur le placement des électrodes, référez-vous au schéma présent sur celles-ci. La 1ère électrode se positionne au-dessous de l’épaule droite de la victime, la 2nde s’utiliser sur la partie gauche du thorax, en-dessous de l’aisselle de la victime. Sur une victime pédiatrique, la première électrode est positionnée sur la partie gauche du sternum, et la seconde, dans le dos, entre les omoplates. Il est nécessaire de veiller à ce que les électrodes soient bien positionnées, car si ce n’est pas le cas, le courant électrique permettant de réaliser la défibrillation pourrait perdre en efficacité. Si la peau de la victime n’est pas sèche, pensez à l’essuyer avant de placer les électrodes. Si la poitrine de la victime est velue, n’hésitez pas à la raser avant de débuter le positionnement des électrodes. Une peau mouillée ou une pilosité trop importante nuiraient à l’adhérence des électrodes. Un kit d’intervention contenant des compresses, un rasoir ou des ciseaux est souvent mis à disposition avec les DAE afin de préparer correctement la victime.

  • Lorsque les électrodes sont positionnées, le DAE pourra démarrer l’analyse du rythme cardiaque. Si vous utilisez un DEA, cette étape se démarrera automatiquement. Avec l’utilisation d’un DEA, l’appareil vous dira de lancer l’analyse en appuyant sur le bouton. Afin de réaliser la meilleure analyse possible, il est nécessaire de veiller à ce qu’aucune personne ne touche la victime pendant cette étape. L’analyse permet de savoir si le rythme cardiaque de la victime a besoin d’être rétabli grâce à un choc électrique. Si ce n’est pas le cas, le DAE vous invitera à continuer la réanimation cardio-pulmonaire avant de commencer une nouvelle analyse (toutes les 2 minutes).


  • Si le choc est nécessaire : L’appareil vous préviendra de la nécessité de délivrer ce choc à la victime. Il est encore important de faire en sorte que personne ne touche la victime. Si vous utilisez un DEA, le choc sera délivré automatiquement. En revanche, si l’appareil est un DSA, les instructions vocales vous demanderont d’appuyer sur le bouton de choc. L’avantage du DSA est que vous pouvez être sûr.e que personne ne touche la victime afin de ne pas perdre en intensité. De plus, le choc peut être délivré plus rapidement.

  • Tout au long du processus de défibrillation, écoutez et suivez les instructions vocales qui vous permettront d’apporter à la victime la meilleure prise en charge possible.

  • N’éteignez pas le DAE. Cette décision ne peut être prise que par une personne habilitée (un médecin par exemple).